En climatologie, ajustement d’un système à des changements climatiques afin de limiter les dommages potentiels, de tirer parti des opportunités ou de faire face aux conséquences.

Rapport entre les rayonnements solaires réfléchis et reçus par une surface.

Actions contre le réchauffement climatique mondial d’origine humaine visant à en limiter l’ampleur en réduisant les émissions de gaz à effet de serre ou en séquestrant le CO2 de l’atmosphère.

Étude des valeurs moyennes des grandeurs atmosphériques météorologiques (température, pression, précipitations, vent, etc.) sur de longues périodes (> 30 ans).

Position et opinion collectives à un moment donné des scientifiques travaillant sur un domaine particulier d’étude. Le consensus implique un accord général, mais pas nécessairement l’unanimité.

Variations cycliques des paramètres orbitaux terrestres (excentricité, obliquité et précession des équinoxes) à l’origine des variations du climat terrestre.

Ensemble des flux entre les différents réservoirs de carbone : hydrosphère, lithosphère, biosphère et atmosphère.

Expression du rapport des isotopes 18 et 16 de l’oxygène par comparaison avec un échantillon de référence

Phénomène atmosphérique par lequel les couches inférieures de l’atmosphère absorbent partiellement et réémettent le rayonnement infra-rouge émis par la Terre, augmentant ainsi l’énergie reçue au sol et la température de la basse atmosphère.

Gaz absorbant le rayonnement infrarouge et responsable de l’effet de serre. Les principaux gaz à effet de serre sont le dioxyde de carbone, le méthane, le protoxyde d’azote et la vapeur d’eau.

Délai de réaction entre la variation d’un paramètre climatique et son effet global observable.

Étude de l’évolution de paramètres atmosphériques à court terme et à une échelle locale.

État d’équilibre à atteindre entre les émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine et leur retrait de l’atmosphère.

Programme d’action posant les bases d’un nouveau modèle de prospérité, plus économe en énergie et en ressources naturelles, proposant un changement profond pour les principaux secteurs émetteurs de gaz à effet de serre : bâtiment, transport, énergie, agriculture et forêt, industrie et déchets.

Démarche qui vise à réduire les consommations d’énergie par des changements de comportement, de mode de vie et d’organisation collective (moindre usage de la voiture, alimentation plus locale et de meilleure qualité, etc.), mais aussi par le développement de nouvelles technologies.