formation des roches de la lithosphère océanique au niveau de la dorsale.

Ensemble des espèces de fossiles stratigraphiques ayant vécu en même temps dans une même région. Le géologue détermine les associations pour caler dans le temps le dépôt des sédiments à l’origine d’une roche sédimentaire.

Ensemble de chaînes de montagnes liées au même contexte de formation et/ou à une même époque.

Ensemble des techniques, reposant principalement sur la désintégration radioactive, permettant d’estimer quantitativement l’âge d’un objet ou évènement géologique.

Ensemble des principes géométriques et paléontologiques permettant de classer dans le temps des objets ou évènements géologiques les uns par rapport aux autres.

Ensemble des évènements aboutissant à la formation d’une chaîne de montagne puis à la disparition de tout relief.

Durée au bout de laquelle la moitié des atomes initiaux d’un isotope radioactif s’est désintégrée.

Découpage des temps géologiques en ères, périodes et étages grâce aux méthodes stratigraphiques de datation relative. Cette échelle a été complétée avec des dates en millions d’années par les méthodes de la chronologie absolue.

Élément généralement stable qui résulte de la désintégration spontanée d’un autre élément instable qualifié d’élément-père (ou élément radioactif).

Élément instable qui se désintègre spontanément en un autre élément qualifié d’élément-fils radiogénique.

Intervalle de temps de plusieurs dizaines de millions d’années, se terminant par une extinction massive. L’ère se décompose en périodes géologiques. Le Paléozoïque, le Mésozoïque et le Cénozoïque sont des ères géologiques.

Intervalle de temps de quelques centaines de milliers d’années à quelques millions d’années. Une période géologique se décompose en étages.

Plan incliné de contact entre deux blocs séparés lors d’un mouvement distensif.

Ensemble de strates sédimentaires caractérisé par la nature des roches les composant mais aussi par ses compositions chimiques, minéralogiques, fossilifères, etc. Elle est utilisée comme unité de base de la stratigraphie.

Principe selon lequel tout corps inclus dans autre est antérieur à son contenant. Autrement dit, toute inclusion est plus ancienne que la structure qui l’entoure.

Élément chimique, caractérisé par son numéro atomique (nombre de protons) présentant des atomes de masses atomiques différentes (nombre de protons + neutrons) qualifiés d’isotopes de cet élément.

Zone de transition entre la croûte océanique et la croûte continentale ne présentant pas d’activité sismique ou volcanique.

Succession de roches de la lithosphère océanique (basalte, gabbro, péridotite) retrouvées intégrées à de la lithosphère continentale à la suite de mouvements tectoniques.

Formation des reliefs.

Reconstitution de la place des terres émergées et des océans par rapport à l’équateur dans le passé.

Subdivision d’une ère, correspondant à l’intervalle de temps durant lequel se sont formés des affleurements aujourd’hui étudiés par les géologues.

Principe selon lequel un événement (intrusion magmatique, faille, plissement) qui déforme un ensemble de roches est postérieur à la dernière couche qu’il affecte et antérieur à la première couche non affectée. Autrement dit, tout événement géologique qui en recoupe un autre lui est postérieur.

Zone d’extension au sein d’un bloc continental ou entre deux blocs continentaux.

Discipline géologique dont l’une des démarches consiste à ordonner chronologiquement les terrains ou les évènements et à construire une échelle des temps géologiques, sans références chiffrées.

Qualifie un fossile présent en abondance dans les roches sédimentaires, ayant connu une large répartition géographique mais une brève durée d’existence. Il est utilisé pour dater des roches sédimentaires.

Principe selon lequel une couche de roches est plus récente que celle qu’elle recouvre et est plus ancienne que celle qui la recouvre. On peut l’appliquer aux roches sédimentaires (empilement de strates) et aux roches magmatiques volcaniques (empilement de coulées de lave).